600 000 postes dans le milieu associatif seront à pourvoir d’ici 2020. Ces emplois, aujourd’hui choisis par près de deux millions de Français, peuvent assurer des rémunérations « globalement » identiques à celles d’une « entreprise classique », selon Nadia Bellaoui, présidente du mouvement associatif. Pour le chroniqueur Gérard Michel, les emplois associatifs jouissent de trois atouts : ils ne dépendent pas de l’économie, ne souffrent pas des relations hiérarchiques difficiles que l’on peut rencontrer en entreprise, et bénéficient de conventions collectives très protectrices.