L’objectif est de recueillir des expériences diversifiées pour dresser une typologie des opinions sur l’avenir des associations. Les résultats seront diffusés à la rentrée 2011. Si vous souhaitez les recevoir, et être tenu(e) informé(e) des événements organisés dans le cadre de « Faire ensemble 2020 », merci d’indiquer votre adresse mail en bas du questionnaire.
Faire ensemble 2020 est une démarche prospective, animée par la Fonda (membre de Le Mouvement associatif) et soutenue par de nombreux réseaux associatifs et partenaires de l’économie sociale et solidaire, dont l’objectif est d’anticiper les changements à venir et élaborer des stratégies de développement à moyen et long termes. Ouverte à tous, elle croise les analyses de spécialistes et chercheurs, de militants et d’usagers ou observateurs de la vie associative.
Pour apporter votre contribution, merci de suivre ce lien.
Ils soutiennent la démarche : Caisse des Dépôts, Chorum, Conseil régional d’Ile-de-France, Fondation Crédit coopératif, Macif, Mairie de Paris, Ministère éducation nationale, jeunesse, vie associative, Ministère des solidarités et de la cohésion sociale.
Leave a Comment
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.
je suis le président d’une petite association juridiquement reconnue, mais sans subvention de l’Etat ou des collectivités locales qui lutte contre l’exclusion et l’extrême pauvreté des populations (surtout les femmes et les enfants) .L’association se trouve au Sénégal, pays francophone de l’Afrique de l’ouest noire.Dans les pays du sud, l’association a un avenir certain, car jouant un rôle socio-économique de développement.Elle constitue un interlocuteur valable des structures étatiques envers les populations les plus vulnérables. Etant donné que, dans les pays du sud, les populations sont en majorité très pauvres et analphabètes ;les associations encadrent ,éduquent, informent, forment et sensibilisent ces dernières pour leur auto-promotion en déroulant des programmes au bénéfice de ces populations. Nous constatons que l’Etat se désengage de plus en plus du développement humain de la population en appauvrissant d’avantage les populations d’où la nécessité d’appuyer les associations qu’elles jouent plus grandement et plus efficacement leur rôle .
je suis le président d’une petite association juridiquement reconnue, mais sans subvention de l’Etat ou des collectivités locales qui lutte contre l’exclusion et l’extrême pauvreté des populations (surtout les femmes et les enfants) .L’association se trouve au Sénégal, pays francophone de l’Afrique de l’ouest noire.Dans les pays du sud, l’association a un avenir certain, car jouant un rôle socio-économique de développement.Elle constitue un interlocuteur valable des structures étatiques envers les populations les plus vulnérables. Etant donné que, dans les pays du sud, les populations sont en majorité très pauvres et analphabètes ;les associations encadrent ,éduquent, informent, forment et sensibilisent ces dernières pour leur auto-promotion en déroulant des programmes au bénéfice de ces populations. Nous constatons que l’Etat se désengage de plus en plus du développement humain de la population en appauvrissant d’avantage les populations d’où la nécessité d’appuyer les associations qu’elles jouent plus grandement et plus efficacement leur rôle .
je suis le président d’une petite association juridiquement reconnue, mais sans subvention de l’Etat ou des collectivités locales qui lutte contre l’exclusion et l’extrême pauvreté des populations (surtout les femmes et les enfants) .L’association se trouve au Sénégal, pays francophone de l’Afrique de l’ouest noire.Dans les pays du sud, l’association a un avenir certain, car jouant un rôle socio-économique de développement.Elle constitue un interlocuteur valable des structures étatiques envers les populations les plus vulnérables. Etant donné que, dans les pays du sud, les populations sont en majorité très pauvres et analphabètes ;les associations encadrent ,éduquent, informent, forment et sensibilisent ces dernières pour leur auto-promotion en déroulant des programmes au bénéfice de ces populations. Nous constatons que l’Etat se désengage de plus en plus du développement humain de la population en appauvrissant d’avantage les populations d’où la nécessité d’appuyer les associations qu’elles jouent plus grandement et plus efficacement leur rôle .