Aujourd’hui, un recul du gouvernement face à ces orientations prioritaires engendrerait un risque bien réel pour le budget de programmes qui ont pourtant prouvé leur efficacité : santé materno-infantile, programme d’appui à la gouvernance, Fonds de lutte contre le sida et le paludisme.
Seul 0.46% du revenu national contribue à la politique d’aide du développement contre les 0.7% sans cesse réaffirmés par la France. La réduction d’un budget aussi faible permettrait un bénéfice économique à peine mesurable pour la France mais aurait des conséquences considérables pour les plus pauvres de la planète, y compris en termes de vies humaines.
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