Les principaux axes de travail seront les suivants :
- continuer à élaborer un discours commun à toutes les fédérations de la COFAC, pour augmenter leur poids politique et construire un dialogue pérenne avec les différents niveaux de collectivités territoriales.
- approfondir la réflexion sur les SEIG (services économiques d’intérêt général), la place des associations culturelles et l’Europe (Cf. par exemple la rencontre professionnelle qui a eu lieu à Avignon le 14 juillet dernier).
- élaborer un travail de fond sur les pratiques en amateurs (rédaction d’un guide sur la législation actuelle, mise en place d’une enquête, être moteur dans un échange avec les partenaires sur cette question)
- poursuivre l’action du groupe de travail sur les droits d’auteurs (contacts pérennes avec les organismes de perception de droits, notamment)
– prolonger le travail déjà effectué sur le bénévolat et l’emploi dans les associations culturelles (Cf. étude sur l’impact des associations de culture et de communication sur la société, les territoires et les individus), en publiant notamment les résultats de l’enquête actuelle sur le poids et la nature du bénévolat dans les associations du réseau de la COFAC.
Pour cela, différents outils seront privilégiés :
- veille parlementaire, en lien avec le rôle de lobbying de la COFAC
- service juridique commun : mise en place d’un pôle juridique
- formations pour les adhérents des fédérations membres de la COFAC (formations sur les projets européens, sur le DLA, sur le structuration territoriale, etc.)
- accompagnement des fédérations et de leurs associations, en lien avec le copilotage du CNAR Culture de la COFAC.
- enquêtes, études : sur le bénévolat ; les pratiques en amateur ; …
Pour toutes ces actions, la COFAC n’est pas isolée et ne travaille pas seule.
Elle a évidemment le soutien des fédérations de son réseau. L’objectif du projet actuel est de favoriser et valoriser l’échange entre les fédérations sur des questions transversales.
En outre, la structuration territoriale est importante. Celle-ci passe par deux possibilités :
- des COFACs régionales
- la mise en place de la convention CNCRES – CNAR Culture – COFAC – UFISC