Le 19 janvier 2016
Dressons un bref portrait de chacun des protagonistes de ce ménage à trois. L’Etat, qui se fait moins généreux, avec des services déconcentrés amoindris, tout en étant plus que jamais soucieux du vivre-ensemble. Les collectivités, qui, en raison de la restriction budgétaire, veulent passer du rôle de financeur à celui de partenaire.
Et 1,3 million d’associations actives, qui, bien que dépendantes de l’argent public, sont attachées à préserver leur liberté d’entreprendre. Une relation tripartite aux fortes interactions, avec des acteurs forcés de s’entendre sur des objectifs communs.