journée de débat autour des contraintes budgétaires auxquelles font face les associations. Cette journée intitulée "Quels enjeux pour le financement des associations en 2012?" est ouverte à tous: réseaux, fédérations, partenaires publics et privés des associations. Inscrivez-vous vite! "/>

17 janvier: quels enjeux pour le financement des associations en 2012 ?

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Inscriptions fermées.

Pour toute demande d’informations sur ces inscriptions, vous pouvez contacter Le Mouvement associatif au 01 40 36 80 10


Programme

9:15 – Accueil

9:45 – Ouverture
Béatrice Delpech, déléguée générale de le CPCA – Anne Florette, directrice générale de France Active – Francis Vercamer, député

10:00 – Principaux constats de l’enquête « Associations: comment faites-vous face à la crise? »
Denis Dementhon, Directeur du développement territorial de France Active

10:30 – Financement public: un choix de société
Christiane Bouchart, adjointe au maire de Lille, Présidente du RTES – Françoise Castex, députée au Parlement européen –  Brigitte Giraud, vice-présidente de Le Mouvement associatif et présidente du Celavar – Michel Hainque, membre du Conseil supérieur de l’ESS et co-rapporteur du rapport Vercamer – Viviane Tchernonog, chercheuse au CNRS, Matisse

14:00 – Partenariat privé: un enjeu de réciprocité
Pierre Fonlupt, président de la commission « Nouveaux dialogues » du Medef – Béatrice de Durfort, directrice du Centre français des fondations – Marc Dehliat, Directeur du Sirque de Nexon – Jean-Louis Tourraine, premier adjoint au maire de Lyon

15:15 – Banques et finance solidaire: des solutions à construire
Jean-Michel Lecuyer, responsable du pôle activité de France Active – Monique Millot-Pernin, administratrice de la Banque de France – Hugues Sibille, vice-président du Crédit coopératif – Marie-Guite Dufay, vice-présidente de l’Association des Régions de France – Philippe Cacciabue, directeur de la Foncière Terre de liens

16:30 – Conclusion
André Leclercq, président de Le Mouvement associatif – Christian Sautter, président de France Active

17:00 – Cocktail


Télécharger le programme-17-janvier-2012

Lieu de la rencontre

Amphithéâtre du journal Le Monde, 80 boulevard Auguste Blanqui – 75013 Paris

En partenariat avec Le Mouvement associatif, le CNAR Financement, France Active, le FSE, Le Monde, JurisAssociations, la Gazette des Communes

Showing 18 comments
  • CORDIER

    Bonjour,
    C’est une très bonne initiative,mais entre les colloques réhuassés de discours prometteurs, la réalité du terrain est malheureusement toute autre. Je viens de faire deux tentatives malheureuses avec France Active qui a recalé mes dossiers, sans doute par manque de confiance. J’ai du trouver d’autres solutions avec des organismes qui nous ont fait confiance et nous allons bien.
    Ce colloque m’intéresse, mais le décalage entre le discours et la réalité est amer, je parle pour France Active.
    au moment où l’on a besoin de solidarité commune, les discours sont insuffisants, nous sommes tous les jours sur le terrain pour défendre nos valeurs.
    serai-je entendu?

    très sincèrement

  • CORDIER

    Bonjour,
    C’est une très bonne initiative,mais entre les colloques réhuassés de discours prometteurs, la réalité du terrain est malheureusement toute autre. Je viens de faire deux tentatives malheureuses avec France Active qui a recalé mes dossiers, sans doute par manque de confiance. J’ai du trouver d’autres solutions avec des organismes qui nous ont fait confiance et nous allons bien.
    Ce colloque m’intéresse, mais le décalage entre le discours et la réalité est amer, je parle pour France Active.
    au moment où l’on a besoin de solidarité commune, les discours sont insuffisants, nous sommes tous les jours sur le terrain pour défendre nos valeurs.
    serai-je entendu?

    très sincèrement

  • CORDIER

    Bonjour,
    C’est une très bonne initiative,mais entre les colloques réhuassés de discours prometteurs, la réalité du terrain est malheureusement toute autre. Je viens de faire deux tentatives malheureuses avec France Active qui a recalé mes dossiers, sans doute par manque de confiance. J’ai du trouver d’autres solutions avec des organismes qui nous ont fait confiance et nous allons bien.
    Ce colloque m’intéresse, mais le décalage entre le discours et la réalité est amer, je parle pour France Active.
    au moment où l’on a besoin de solidarité commune, les discours sont insuffisants, nous sommes tous les jours sur le terrain pour défendre nos valeurs.
    serai-je entendu?

    très sincèrement

  • BUHLER

    Bonjour,
    Tout à fait d’accord avec ce qui est dit ci-dessus par M. Cordier en ce qui concerne le décalage entre les discours, enquêtes, rapports des commisssions en tout genre, etc. et la réalité quotidienne sur le terrain.
    Le monde associatif a maintenant besoin d’actes et d’actions concrètes.
    Cordialement.

    • Marie

      Bonjour,
      Nous comprenons votre besoin « d’actes et d’actions concrètes » compte-tenu du contexte difficile et des profondes mutations budgétaires, institutionnelles et administratives qui traversent le secteur associatif. Cette rencontre s’inscrit d’ailleurs précisément dans cette logique. S’appuyant sur une analyse de la réalité de l’évolution des modèles économiques des associations (cf enquête CPCA / France Active sur les besoins de financement), elle vise à faire dialoguer les associations, les fédérations et leurs partenaires publics et privés afin d’envisager des solutions concrètes permettant de répondre aux difficultés financières perçues par les associations. L’idée de travailler à partir des résultats de notre enquête sur les besoins de financements (à laquelle 855 responsables associatifs ont répondu!) consiste justement à ne pas construire un discours « hors sol » qui serait déconnecté de la réalité des enjeux des structures de terrain. Au contraire, il s’agira de formuler des propositions concrètes d’évolution (sur les relations contractuelles avec les pouvoirs publics, sur la consolidation des modèles économiques, sur les relations partenariales avec les entreprises et les banques) afin d’interpeler les responsables politiques présents. Vous l’aurez compris, cette journée s’inscrit donc dans une logique d’interpellation propositionnelle, fondamentalement ancrée sur des constats issus du « terrain ».
      Cordialement,
      Marie Lamy, conseillère technique à la CPCA

  • BUHLER

    Bonjour,
    Tout à fait d’accord avec ce qui est dit ci-dessus par M. Cordier en ce qui concerne le décalage entre les discours, enquêtes, rapports des commisssions en tout genre, etc. et la réalité quotidienne sur le terrain.
    Le monde associatif a maintenant besoin d’actes et d’actions concrètes.
    Cordialement.

    • Marie

      Bonjour,
      Nous comprenons votre besoin « d’actes et d’actions concrètes » compte-tenu du contexte difficile et des profondes mutations budgétaires, institutionnelles et administratives qui traversent le secteur associatif. Cette rencontre s’inscrit d’ailleurs précisément dans cette logique. S’appuyant sur une analyse de la réalité de l’évolution des modèles économiques des associations (cf enquête CPCA / France Active sur les besoins de financement), elle vise à faire dialoguer les associations, les fédérations et leurs partenaires publics et privés afin d’envisager des solutions concrètes permettant de répondre aux difficultés financières perçues par les associations. L’idée de travailler à partir des résultats de notre enquête sur les besoins de financements (à laquelle 855 responsables associatifs ont répondu!) consiste justement à ne pas construire un discours « hors sol » qui serait déconnecté de la réalité des enjeux des structures de terrain. Au contraire, il s’agira de formuler des propositions concrètes d’évolution (sur les relations contractuelles avec les pouvoirs publics, sur la consolidation des modèles économiques, sur les relations partenariales avec les entreprises et les banques) afin d’interpeler les responsables politiques présents. Vous l’aurez compris, cette journée s’inscrit donc dans une logique d’interpellation propositionnelle, fondamentalement ancrée sur des constats issus du « terrain ».
      Cordialement,
      Marie Lamy, conseillère technique à la CPCA

  • BUHLER

    Bonjour,
    Tout à fait d’accord avec ce qui est dit ci-dessus par M. Cordier en ce qui concerne le décalage entre les discours, enquêtes, rapports des commisssions en tout genre, etc. et la réalité quotidienne sur le terrain.
    Le monde associatif a maintenant besoin d’actes et d’actions concrètes.
    Cordialement.

    • Marie

      Bonjour,
      Nous comprenons votre besoin « d’actes et d’actions concrètes » compte-tenu du contexte difficile et des profondes mutations budgétaires, institutionnelles et administratives qui traversent le secteur associatif. Cette rencontre s’inscrit d’ailleurs précisément dans cette logique. S’appuyant sur une analyse de la réalité de l’évolution des modèles économiques des associations (cf enquête CPCA / France Active sur les besoins de financement), elle vise à faire dialoguer les associations, les fédérations et leurs partenaires publics et privés afin d’envisager des solutions concrètes permettant de répondre aux difficultés financières perçues par les associations. L’idée de travailler à partir des résultats de notre enquête sur les besoins de financements (à laquelle 855 responsables associatifs ont répondu!) consiste justement à ne pas construire un discours « hors sol » qui serait déconnecté de la réalité des enjeux des structures de terrain. Au contraire, il s’agira de formuler des propositions concrètes d’évolution (sur les relations contractuelles avec les pouvoirs publics, sur la consolidation des modèles économiques, sur les relations partenariales avec les entreprises et les banques) afin d’interpeler les responsables politiques présents. Vous l’aurez compris, cette journée s’inscrit donc dans une logique d’interpellation propositionnelle, fondamentalement ancrée sur des constats issus du « terrain ».
      Cordialement,
      Marie Lamy, conseillère technique à la CPCA

  • jarry

    je suis tout a fait d accord beaucoup trop de grands discours et finalement peu d effets nous sommes une association qui emploi 6 personnes regulierement et nous n avons jamais eut d aide

    • Marie

      Bonjour,
      En tant qu’instance regroupant 16 coordinations associatives et plus de 700 fédérations, la CPCA assure une fonction technique et une fonction politique, qui vont de pair et se complètent. Notre fonction d’appui technique aux associations se concrétise notamment dans la publication de nombreuses ressources en direction des associations sur tous les sujets transversaux au secteur, dans le but d’outiller les associations et de les aider à faire face aux mutations qui traversent leur environnement. Mais cette fonction d’appui technique s’articule avec une fonction politique d’interpellation, nécessaire pour faire entendre la voix des associations dans la construction des politiques publiques. Cette fonction est indispensable, elle est une condition pour que les évolutions du monde associatif ne viennent pas le désorganiser ni le dénaturer. En tant que regroupement associatif, il est donc logique que nous défendions les activités d’intérêt général portées par les associations auprès des pouvoirs publics et plus largement de l’ensemble des partenaires des associations. C’est d’ailleurs tout l’objet de cette journée interpellation du 17 janvier lors de laquelle nous émettrons des propositions concrètes d’évolution sur les problématiques de financement.
      Bien à vous,
      Marie Lamy, conseillère technique (CPCA)

  • jarry

    je suis tout a fait d accord beaucoup trop de grands discours et finalement peu d effets nous sommes une association qui emploi 6 personnes regulierement et nous n avons jamais eut d aide

    • Marie

      Bonjour,
      En tant qu’instance regroupant 16 coordinations associatives et plus de 700 fédérations, la CPCA assure une fonction technique et une fonction politique, qui vont de pair et se complètent. Notre fonction d’appui technique aux associations se concrétise notamment dans la publication de nombreuses ressources en direction des associations sur tous les sujets transversaux au secteur, dans le but d’outiller les associations et de les aider à faire face aux mutations qui traversent leur environnement. Mais cette fonction d’appui technique s’articule avec une fonction politique d’interpellation, nécessaire pour faire entendre la voix des associations dans la construction des politiques publiques. Cette fonction est indispensable, elle est une condition pour que les évolutions du monde associatif ne viennent pas le désorganiser ni le dénaturer. En tant que regroupement associatif, il est donc logique que nous défendions les activités d’intérêt général portées par les associations auprès des pouvoirs publics et plus largement de l’ensemble des partenaires des associations. C’est d’ailleurs tout l’objet de cette journée interpellation du 17 janvier lors de laquelle nous émettrons des propositions concrètes d’évolution sur les problématiques de financement.
      Bien à vous,
      Marie Lamy, conseillère technique (CPCA)

  • jarry

    je suis tout a fait d accord beaucoup trop de grands discours et finalement peu d effets nous sommes une association qui emploi 6 personnes regulierement et nous n avons jamais eut d aide

    • Marie

      Bonjour,
      En tant qu’instance regroupant 16 coordinations associatives et plus de 700 fédérations, la CPCA assure une fonction technique et une fonction politique, qui vont de pair et se complètent. Notre fonction d’appui technique aux associations se concrétise notamment dans la publication de nombreuses ressources en direction des associations sur tous les sujets transversaux au secteur, dans le but d’outiller les associations et de les aider à faire face aux mutations qui traversent leur environnement. Mais cette fonction d’appui technique s’articule avec une fonction politique d’interpellation, nécessaire pour faire entendre la voix des associations dans la construction des politiques publiques. Cette fonction est indispensable, elle est une condition pour que les évolutions du monde associatif ne viennent pas le désorganiser ni le dénaturer. En tant que regroupement associatif, il est donc logique que nous défendions les activités d’intérêt général portées par les associations auprès des pouvoirs publics et plus largement de l’ensemble des partenaires des associations. C’est d’ailleurs tout l’objet de cette journée interpellation du 17 janvier lors de laquelle nous émettrons des propositions concrètes d’évolution sur les problématiques de financement.
      Bien à vous,
      Marie Lamy, conseillère technique (CPCA)

  • ondoa etoundi victor

    Salut,
    le thème du debat est très important surtout pour ceux de nous africains qui sommes des membres d’associations et que jamais on a eu l’opportunité d’avoir accès au financement venant des bailleurs européens.dans notre association, nous oeuvrons pour l’agriculture,l’agroforesterie ainsi que les écoles paysannes, nous faisons tout le nécessaire aider les populations rurales , nous demandons l’appui, mais trop de garanti empêchent et decouragent même ceux qui veulent vraiment travailler.
    il y une chose que j’arrive pas à comprendre, c’est que lorsque quelqu’un est encore au début de sa carrière il est prêt à bosser dure

  • ondoa etoundi victor

    Salut,
    le thème du debat est très important surtout pour ceux de nous africains qui sommes des membres d’associations et que jamais on a eu l’opportunité d’avoir accès au financement venant des bailleurs européens.dans notre association, nous oeuvrons pour l’agriculture,l’agroforesterie ainsi que les écoles paysannes, nous faisons tout le nécessaire aider les populations rurales , nous demandons l’appui, mais trop de garanti empêchent et decouragent même ceux qui veulent vraiment travailler.
    il y une chose que j’arrive pas à comprendre, c’est que lorsque quelqu’un est encore au début de sa carrière il est prêt à bosser dure

  • ondoa etoundi victor

    Salut,
    le thème du debat est très important surtout pour ceux de nous africains qui sommes des membres d’associations et que jamais on a eu l’opportunité d’avoir accès au financement venant des bailleurs européens.dans notre association, nous oeuvrons pour l’agriculture,l’agroforesterie ainsi que les écoles paysannes, nous faisons tout le nécessaire aider les populations rurales , nous demandons l’appui, mais trop de garanti empêchent et decouragent même ceux qui veulent vraiment travailler.
    il y une chose que j’arrive pas à comprendre, c’est que lorsque quelqu’un est encore au début de sa carrière il est prêt à bosser dure

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